« L’homme qui voulait être heureux » de Laurent Gounelle

Publié le par cestdurdetreunetortue.over-blog.com

« L’homme qui voulait être heureux » de Laurent Gounelle aux éditions pocket

 

 

 

Je retourne le livre et je vois:

 

Imaginez… Vous êtes en vacances à Bali et, peu de temps avant votre retour, vous consultez un vieux guérisseur. Sans raison particulière, juste parce que sa grande réputation vous a donné envie de le rencontrer, au cas où… Son diagnostic est formel : vous êtes en bonne santé, mais vous n’êtes pas heureux. Porteur d’une sagesse infinie, ce vieil homme semble vous connaître mieux que vous-même. L’éclairage très particulier qu’il apporte à votre vécu va vous entraîner dans l’aventure la plus captivante qui soit : celle de la découverte de soi…

 

J’en pense quoi?

 

Ce livre, c’est un ami qui me l’a prêté. Quand je l’ai vu dans sa bibliothèque, j’hésitais depuis un petit moment à l’acheter. Non pas pour sa couverture verdoyante qui est peut-être censée rappeler le retour aux choses simples de la nature (arfff…, vous me direz, ça va bien avec le reste du livre) mais plutôt parce que j’en entendais parler un peu partout et que ça m’intriguait!

 

J’ai envie de classer ce livre dans la catégorie développement personnel (arfff encore! désolé, c’est un genre que j’ai du mal à apprécier et tolérer sur ma table de chevet). Malgré tout, je ne peux pas dire que cela ait été une lecture désagréable. Je pense qu’il doit son succès au fait qu’il soit très accessible et son petit côté romancé permet une lecture plus agréable qu’un « Ouvrons nos chakras et donnons nous la main ». Et puis au fil des pages, il appâte le lectorat avec des situations qui nous font dire « oh mais oui, moi aussi! C’est décidé, je vais changer! ».

 

Mouais, enfin tout ça est un peu gentil, tout est simplifié au maximum, les exemples sont niveau CE2 et encore, je suis gentille (ce n’est que mon avis).

 

En bref, je dirais que ça se lit mais c’est loin d’être la découverte de l’année, c’est plutôt, à mon goût, un mélange de lieux communs et de banalités. Alors, on ne court pas pour l’acheter, on l’emprunte à la limite…

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